Bagnolet est concerné par la question de l’efficacité énergétique des flux de marchandises : ces flux sont responsables de 15,1% des émissions de CO2, dont la moitié par la circulation des poids lourds, et l’autre moitié par des véhicules utilitaires de plus faibles gabarits [1]. Cet article est la continuation des réflexions issues de la rencontre avec Laetitia Dablanc, Urbaniste, Directrice du laboratoire Logistics City à l’Université Gustave Eiffel – Marne-la-Vallée (lire l’article précédent la face cachée de la livraison à domicile). Il traite de l’urbanisme de la logistique, ou la question de savoir où construire les entrepôts et les hôtels logistiques.
Dans le cadre du grand cycle des mobilités, s’est tenue le 14 mars une rencontre sur le transport des marchandises, avec Laetitia Dablanc, Urbaniste, Directrice du laboratoire Logistics City* à l’Université Gustave Eiffel – Marne-la-Vallée. Inspiré de cette rencontre, cet article analyse les flux de transports de marchandise dans leur diversité de structures : approvisionnement des grandes surfaces, des petits commerces ou des particuliers. Dans l’article suivant (lire ici faut-il construire des hôtels logistique dans les quartiers?) nous abordons les questions de répartition des entrepôts et de l’immobilier de la logistique, et d’autres aspects sociaux de la logistique comme le statut des livreurs.
La mobilisation contre le projet de la société Goodman d’implanter une plateforme de 25 589 m2 à la frontière de Noisy-le-Sec et Romainville ne faiblit pas. Lors d’une réunion du collectif No Goodman ce samedi, décision a été prise de déposer un recours contentieux pour bloquer le projet. Par Elsa Marnette.
Des habitants réunis au sein du collectif «No Goodman» vont déposer un recours contre un permis de construire accordé par la municipalité de Noisy-le-Sec à cette entreprise sur une parcelle en limite de Romainville. Par Hélène Haus.