Pour bien commencer l’année, voici un texte d’André Gorz datant de 1973, qui invite à « ne jamais poser le problème du transport isolément, toujours le lier au problème de la ville, de la division sociale du travail et de la compartimentation que celle-ci a introduite entre les diverses dimensions de l’existence ». Cinquante ans plus tard, la révolution culturelle, entrevue par André Gorz bat son plein. L’alternative à la bagnole ne peut être que globale (l’unité d’une vie) et locale (vivre sur son territoire). Extraits et lien vers le texte intégral publié par la rotative.
D’ici au mois de mars, les douches publiques rouvriront à Saint-Denis, à l’attention des personnes sans abri, mais aussi des mal logées. Une mesure demandée de longue date par les associations.
Traverser la banlieue de Bobigny à Montreuil en recherchant la verdure et les chemins de traverse, nous conduit à laisser la grisaille en contrebas. Par Emmanuelle Chaudieu.
Faire bon et bio dans les cantines? C’est possible …dans les collèges de Seine Saint-Denis. Avec l’objectif de bénéfices écologiques à la clé, c’est possible. La preuve avec Cap Veggie, institut de formation en cuisine végétarienne installé à Romainville, qui apporte aux cuisiniers des collèges du 93 son expertise pour créer des repas 100 % végétariens. Par Frédéric Haxo, In Seine-Saint-Denis. Crédits photo: Sophie Loubaton pour le In Seine-Saint-Denis.
Depuis 2015, le collectif Paléo-energétique rassemble de manière collaborative des inventions du passé pour faire avancer la transition énergétique. Le potentiel immense de ces oubliées de la transition écologique est dans le domaine public ; ce passé peut aider à imaginerle futur de l’énergie.
Après la publication de l’ouvrage à succès “Retrofutur : une contre-histoire des innovations énergétiques” (2018), un nouvel ouvrage est en projet: Retrofutur : une autre histoire des machines à vents. Découvrez le projet en détail et soutenez-le sur Ulule en souscription précommande .
Livre après livre, Philippe Bihouix, ingénieur centralien et avocat de la cause écologique, tisse sa toile autour de la notion de décroissance. Dans son dernier opus*, écrit à six mains, il revient sur les mantras des politiques urbaines de ces dernières années – la densification à tous crins, les politiques d’attractivité territoriale, le « choc de construction » pour répondre aux besoins de logement, dont certains sont responsables des maux qu’ils prétendaient combattre. Principaux extraits d’un entretien réalisé par la Gazette des Communes.
