Afin de lutter contre la pénurie d’eau actuelle, Est Ensemble a décidé de reporter la vidange de 6 de ses piscines à la rentrée afin d’économiser 4,8 millions de litres d’eau. Toutes les piscines fermeront cependant le 1er septembre pour 15 jours pour l’entretien des équipements.
La demi-finale a désigné trois duos (dont un de Bagnolet) constitués d’un cuisinier et d’un artiste qui se sont affrontés le 24 septembre en finale. Lancé avant l’été, ce concours vise à exhaler la diversité et la richesse gastronomique du département. Extraits d’un article d’Elsa Marnette dans Le Parisien. Epilogue: Aziza Gonon et Vincent Olinet ont terminé en deuxième position dans la catégorie Cuisine et création.
Saint-Ouen, lors de la première phase du championnat. Aziza Gonon et Vincent Ollinet se sont rencontrés au centre Guy-Toffoletti de Bagnolet. Ils ont créé ces gâteaux en forme de rouges à lèvres.
Dire adieu au goudron en ville. Comment ? En dépavant ! L’idée derrière ce projet canadien : retirer le bitume pour diminuer la chaleur urbaine et permettre au sol de mieux absorber l’eau de pluie. Reportage d’Alexis Gacon dans Reporterre. Par rapport aux premières réalisations que nous connaissons en France (et à Bagnolet -cour d’école Travail), le projet Canadien tranche par son ambition et sa visée systématique, par la participation des habitant.e.s et par l’objectif assumé de réguler les eaux de pluie.
Alors que plus d’un tiers des primaires et des maternelles sont amenés à l’école en voiture, à Crissey, en Saône-et-Loire, des bénévoles amènent, à pied, les enfants à l’école. Les pédibus ont des vertus insoupçonnées. Par Emilie Massemin dans Reporterre.
Ce livre raconte l’histoire d’un combat citoyen, local, francilien et parisien : encore aujourd’hui, en 2022, 200 000 habitants des alentours de la porte de Bagnolet ne peuvent toujours pas capter les stations de radio émises depuis la tour Eiffel sur la bande FM. Son auteur est notre ami Michel Léon, longtemps Bagnoletais.
Embauchés par un sous-traitant de l’association Coallia au sein du centre d’hébergement d’urgence de l’hôtel Ibis de Bagnolet, dix salariés ont mené une grève de douze jours. Ils ont obtenu le versement d’un tiers des sommes dues et des garanties en vue de la régularisation de neuf d’entre eux, sans papiers. Lire ci-dessous l’article de FR3 et le communiqué de la CGT93.