La Recyclerie de La Noue Bagnolet est contrainte de fermer ses portes au public à partir du 1er janvier 2024. Nous espérons que cela n’est que provisoire tant ce projet est utile pour la population. Les Ecolos solidaires ne ménageront pas leurs efforts pour obtenir sa réouverture et pour qu’une solution adaptée et pérenne soit proposée par la ville de Bagnolet. Lire ci-dessous le communiqué de la recyclerie.
Les petites billes noires sur les terrains synthétiques, c’est terminé. La commission européenne les a interdites et exhorte les collectivités à les remplacer. En Bretagne, certaines communes viennent de les installer. Un reportage de Sylvaine Salliou sur France 3 Bretagne.
A Bagnolet, les deux terrains de foot des Rigondes sont directement concernés. Installés il y a une quinzaine d’années, ils sont particulièrement dégradés et répandent leurs billes noires toxiques partout dans l’environnement et chez les joueurs. Leur changement ne saurait attendre plus longtemps.
La rue Raoul Berton vient d’être plantée le 19 décembre de 17 arbres, de la même essence que ceux de la rue voisine, la rue Marie-Claude et Paul Vaillant-Couturier. Avec les arbres, la transformation écologique de cette rue commence à être tangible. Retour sur les facteurs d’une transformation qui reste, somme toute, innovante, malgré tous les freins à surmonter.
La conseil municipal du 21 décembre a examiné une délibération sur une étude préliminaire à la transformation de la porte de Bagnolet. Edith Félix, maire adjointe chargée notamment de la voirie et des mobilités, a insisté sur la nécessité de penser d’abord un projet d’infrastructure routière. Elle a rappelé les réserves des écologistes sur l’enfouissement qui ne résout aucun problème…
Le géographe Guillaume Faburel ne croit pas à la résilience des métropoles, à base de végétalisation, d’agriculture urbaine et de mobilité électrique. L’auteur d’« Indécences urbaines » (aux éditions Climats-Flammarion) défend un autre modèle, fondé sur le repeuplement des campagnes et des petites villes. Une rupture seule à même de répondre à la crise écologique, selon Guillaume Faburel.