… plutôt que démolir et reconstruire, comme on le fait trop souvent à Bagnolet. Par exemple avec la démolition de « toit et joie » en haut de la rue Sadi Carnot pour reconstruire sur place, avec quelques arbres en moins. Ou encore, avec l’incroyable projet de démolir et reconstruire le théâtre de l’Echangeur, pourtant entièrement rénové sur fonds publics ces dernières années, une proposition présentée dans l’étude urbaine Gallieni – République – Fraternité (voir ici).
Pour changer la ville on peut détruire et reconstruire…ou bien réfléchir autrement et imaginer une nouvelle vie pour les bâtiments existants ! Rénover, réhabiliter, en prenant en compte les enjeux environnementaux d’isolation, de circularité, d’intégration dans l’écosystème… C’est possible, et c’est ce qu’a montré un concours d’architecture.