Au conseil municipal du 7 mars, la maire a annoncé abandonner sa délégation aux finances, en pleine discussion du budget, pour la confier à la maire adjointe Edith Félix. Mais c’est une pseudo délégation, sans les outils nécessaires à son exercice, qui lui a été confiée par arrêté dès le lendemain. Et Edith Félix est sanctionnée par un nouveau retrait de ses délégations aux transports, aux mobilités, à la voirie et à l’eau dans la ville. Lire ci-dessous le communiqué des Ecolos solidaires.
Les délégations d’Edith Félix ont été partiellement rétablies par un nouvel arrêté du maire, le 31 octobre, abrogeant l’abrogation. Mais n’ont pas été rétablies sa délégation sur le quartier du Plateau, ni celle sur l’eau dans la ville. Sanctionner les personnes engagées et motivées ne fait pas avancer Bagnolet et ne contribue pas à « la bonne marche de l’administration communale ».
Le maire (PS) de Bagnolet, Tony Di Martino, a pris un arrêté mardi pour retirer les délégations de son adjointe à la voirie, Édith Felix. Explications. Article de Charles Henry dans citoyens.com
Outre les sénatoriales, l’article qui donne largement la parole à notre élue, évoque une « bisbille en place publique » qui peut difficilement justifier la sanction subie… Ci-dessous les premiers paragraphes et le lien vers l’article intégral.
Mardi 26 septembre, au lendemain des sénatoriales qui ont vu l’élection surprise d’Ahmed Laouedj en Seine Saint-Denis, le maire de Bagnolet a retiré sa délégation à Edith Félix, maire-adjointe à la voirie, aux mobilités et à l’eau dans la ville, sous prétexte d’un incident survenu le …7 septembre ! Est-ce une punition pour l’engagement de notre groupe en faveur du nouveau sénateur ? On peut se le demander tant la décision du maire est injustifiée. Les Ecolos solidaires expriment leur soutien à Edith Félix et demandent au maire de revenir sur sa décision.
Parents et enseignant.e.s réclament un.e infirmier.e et un.e assistant.e social.e pour le collège. Mercredi, les enseignant.e.s ont fait valoir leur droit de retrait. Jeudi, les parents ont massivement bloqué le collège. De nombreux.ses élu.e.s étaient présent.e.s pour soutenir l’action.
A la demande du collectif des parents de l’école Jaurès, une plaque commémorative en hommage à David Perchirin a été posée devant l’école primaire le 13 novembre par le maire Tony Di Martino en présence de la famille de l’enseignant, du député Alexis Corbière, du représentant de l’Education nationale, M. Riquier, conseiller pédagogique de la circonscription et ancien enseignant dans cette école, et de nombreux parents et citoyen.ne.s. Ci-dessous l’hommage de l’association 13ONZE15, lu par des parents de l’école Jaurès, et le discours du maire.