Le géographe Guillaume Faburel ne croit pas à la résilience des métropoles, à base de végétalisation, d’agriculture urbaine et de mobilité électrique. L’auteur d’« Indécences urbaines » (aux éditions Climats-Flammarion) défend un autre modèle, fondé sur le repeuplement des campagnes et des petites villes. Une rupture seule à même de répondre à la crise écologique, selon Guillaume Faburel.
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