Le géographe Guillaume Faburel ne croit pas à la résilience des métropoles, à base de végétalisation, d’agriculture urbaine et de mobilité électrique. L’auteur d’« Indécences urbaines » (aux éditions Climats-Flammarion) défend un autre modèle, fondé sur le repeuplement des campagnes et des petites villes. Une rupture seule à même de répondre à la crise écologique, selon Guillaume Faburel.
Une cinquantaine de personnalités franciliennes, dont des élus et des architectes-urbanistes, appellent à « changer de cap », car le « ruissellement métropolitain n’existe pas ». Tribune initialement publiée dans le JDD.
RDV dimanche 17 janvier 2021 /11h-16h / chemin de la Justice à Gonesse / RER B ou D, Parc des expositions ou Villiers-le-Bel Gonesse Arnouville, puis bus 20, arrêt Fontaine Cypierre / en cas de besoin, appeler le 06 76 90 11 62.
Collectif pour un tournant écologique et solidaire à Bagnolet