Pendant les émeutes, de nombreuses mairies, écoles, centres sociaux ont été incendiés. Le sociologue Denis Merklen, spécialiste des classes populaires et auteur des ouvrages « Pourquoi brûle-t-on des bibliothèques ? » et « Les indispensables. Sociologie des mondes militants », estime que ces évènements sont la conséquence des dysfonctionnements d’un Etat social omniprésent en France. Entretien réalisé par Pierre Garcia Romain Gaspar dans la Gazette des communes.
Voici la contribution de Goundo Diawara, cofondatrice et porte-parole du Front de mères, syndicat de parents des quartiers populaires, également publiée par Médiapart dans son dossier sur les propositions pour les quartiers populaires. Si nous ne nous sommes pas toujours retrouvé.e.s dans les déclarations de cette organisation, nous sommes en phase sur ces dernières propositions concernant l’école publique.
La machine de la décision publique est en panne. Elle souffre d’un manque cruel de légitimité démocratique. La question dépasse allègrement la personne d’Emmanuel Macron et la réforme des retraites. Dans la gazette des communes et des collectivités.
Dans le cadre du Grand Cycle sur les Mobilités, organisé par la ville de Bagnolet, Alexandre Faure, chercheur à la Fondation France-Japon de l’EHESS et chercheur invité à Yokohama City University, a présenté jeudi 19 janvier, les enjeux de la transition énergétique pour les Mobilités. La question centrale était de savoir si le passage à l’électrique est une bonne idée et si oui, dans quelles conditions ?
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Une cinquantaine de personnalités franciliennes, dont des élus et des architectes-urbanistes, appellent à « changer de cap », car le « ruissellement métropolitain n’existe pas ». Tribune initialement publiée dans le JDD.
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Pour bien commencer l’année, voici un texte d’André Gorz datant de 1973, qui invite à « ne jamais poser le problème du transport isolément, toujours le lier au problème de la ville, de la division sociale du travail et de la compartimentation que celle-ci a introduite entre les diverses dimensions de l’existence ». Cinquante ans plus tard, la révolution culturelle, entrevue par André Gorz bat son plein. L’alternative à la bagnole ne peut être que globale (l’unité d’une vie) et locale (vivre sur son territoire). Extraits et lien vers le texte intégral publié par la rotative.
