Si le Maire a bien reconnu des dysfonctionnements des ressources humaines de la ville au mois de juillet (lire ici: les accidents du travail sont bien des accidents du travail), rien n’a été fait depuis pour les corriger! C’est ce que nous apprend une lettre ouverte du Syndicat CGT des Territoriaux de Bagnolet qui dénonce la souffrance au travail et la précarité financière de certains agents. Le dialogue social constructif, c’est quand des actes concrets suivent les discussions, souligne le syndicat.
La situation du 82 rue Anatole France a été évoquée par Edith Félix et Jean-Claude Oliva au conseil municipal du 16 octobre. Les familles sont bloquées là, elles vont à nouveau affronter un hiver dans un environnement qui est une passoire thermique. Il faut faire quelque chose ! Le Maire a tenté des diversions mais n’a pas apporté de réponse sur le fond.
Un appel à signer pour réaliser l’unité des gauches et des écologistes dès le premier tour des prochaines élections municipales à Bagnolet. Il faut tourner la page du maire actuel qui nous divise.
La communication municipale ne sait plus quoi inventer pour répondre au mécontentement des habitant.es concernant l’état de saleté chronique de la ville. Après les opérations coups de balais, c’est les caméras mobiles. Demain les drones ? Mais, malgré toutes les annonces, les poubelles s’amoncellent dans nos rues.
Les accidents du travail ne sont pas des congés maladies ordinaires. Le maire, responsable direct du personnel communal, reconnaît un dysfonctionnement des ressources humaines de la ville. Voici les explications des territoriaux CGT de Bagnolet qui ont obtenu ce recul du maire.
Notre article sur le dernier conseil municipal (Fin de règne – à lire ici) a suscité une réaction des élu.e.s communistes de Bagnolet (exprimée sur les réseaux sociaux). En essayant d’éviter les polémiques stériles, voici quelques éléments complémentaires pour essayer de clarifier la situation politique locale à quelques mois des élections municipales de 2026.