Il est bien naturel de conclure la campagne humaine et chaleureuse que nous avons mené ensemble en s’arrêtant sur notre tête de liste, Tony Di Martino.
Jusqu’à présent j’ai tenté de montrer la démarche, les raisons qui ont conduit notre groupe écologiste à constituer avec Tony Di Martino, le PS, le PRG, Génération Ecologie et de nombreux-ses citoyen-nes, la liste de rassemblement Bagnolet écologique et solidaire.
Pour certain-es de nos adversaires , il n’y aurait que des questions de personnes et pas de choix politique à faire à l’occasion des ces élections. (C’est bien commode quand on n’a pas grand chose à dire sur ce qu’on veut faire, et qu’on ne veut surtout pas dire avec qui… ) Et Tony Di Martino ne serait pas assez bien pour elle-s ou pour eux.
J’entends du mépris pour notre maire parce qu’il n’est que de Bagnolet. Parce que son parcours politique et personnel s’est effectué pour l’essentiel dans notre ville.
Je crois au contraire qu’il s’agit du point fort de Tony Di Martino. Il est d’ici et il connaît tout le monde. Autre point fort, il ne connaît pas seulement les personnes mais aussi les dossiers. Il sait parler aux gens, à tous les gens, quelle que soit leur catégorie sociale ou leur quartier, et il sait de quoi il parle.
Pas étonnant que la liste Bagnolet écologique et solidaire qu’il mène, soit elle aussi représentative de Bagnolet, avec des personnes de tous les quartiers, de tous les âges, des militant-es politiques de gauche, socialistes et radicaux, des écologistes, et de nombreux-ses citoyen-nes, des élu-es expérimentées et des nouvelles-aux venu-es pour un mandat politique local.
Enfin si Tony Di Martino est pugnace et combatif, il sait aussi écouter et tenir compte de ce qu’on lui dit. Nous en avons recueilli de très nombreux témoignages durant cette courte campagne électorale. N’est-ce pas au fond ce qu’on attend d’un maire? Et pour tout vous dire, si ce n’était pas le cas, si je n’avais pas fait moi-même l’expérience, tout au long des six ans du mandat écoulé où j’étais dans l’opposition, de son ouverture d’esprit, je ne serais probablement pas là aujourd’hui.
Je ne vous en dit pas plus, je vous donne rendez-vous le 15 mars.